Aucun produit n'est utilisé, sauf pour les angiomammographies nécessitant l'injection intraveineuse (le plus souvent au pli du coude) d'un produit de contraste à base d'iode.

La patiente doit se mettre face à l'appareil, torse nu. La manipulatrice va comprimer ensuite un sein entre deux plaques.

La mammographie est indolore. Chaque sein est consécutivement mis entre deux plaques afin d'effectuer une bonne compression et d'obtenir le meilleur cliché possible.

L'examen de base dure en moyenne 10-15 minutes.

Il est préférable de réaliser la mammographie alors que vous êtes dans la première partie du cycle menstruel (idéalement entre le 8e et le 12e jour après le début des règles). Les seins sont à ce moment-là plus faciles à examiner et moins douloureux.

La présence de corps étranger métalliques, un pace-maker, des implants de cataracte, un état de grossesse ou d'allaitement, une intervention chirurgicale ou endovasculaire récente peuvent contre-indiquer temporairement ou définitivement la réalisation de cet examen. Un manipulateur en radiologie vous posera au préalable plusieurs questions afin de s'assurer que l'examen se déroule en toute sécurité. N'hésitez pas à lui signaler tout problème de santé ou élément qui vous semblerait important et vous munir des références de matériel biomédical si vous les possédez.

La mise en place de prothèses métalliques (hanche, genou, ostéosynthèse...) depuis plus de 6 semaines ne contre-indique pas l'examen mais pourrait générer des artéfacts si la prothèse est comprise dans le champ d'exploration et rendre plus difficile l'interprétation de l'examen.

Les effets secondaires de la chimiothérapie seront variables selon le protocole retenu. La plupart des chimiothérapies peuvent faire baisser les globules blancs (risque d'infection) et les plaquettes (risque hémorragique).

Des effets secondaires digestifs (nausées, vomissements) sont fréquents mais d'intensité variable et ils peuvent être atténués par des traitements protecteurs.

Les effets secondaires sur le rein, le cœur, la peau et les cheveux ne sont pas systématiques, mais peuvent dans certaines situations, se révéler fréquents. Ils dépendent surtout du type de produit utilisé et des doses administrées. Ces questions feront l'objet d'une information préalable du patient et si possible de traitements préventifs associés à la chimiothérapie.

Il existe plusieurs types de chimiothérapie dans les cancers bronchiques.

Les produits utilisés dépendront de nombreux facteurs comme la variété précise de cancer bronchique (histologie), les maladies préalables du patient (comorbidités, état général), les autres traitements en cours, le stade de la maladie, le projet thérapeutique…

Le type de chimiothérapie (protocole) sera aussi décidé en fonction de la discussion avec le patient sur ses attentes, ses questions…

Les modalités d'administration (ambulatoire/hospitalisation, nombre de jours..) et les toxicités seront donc variables selon le protocole retenu.

Non. Les mésothéliomes pleuraux sont orientés vers le service de Pneumo-Oncologie du CHRU de Lille.

Les métastases pulmonaires des différents cancers sont prises en charge de façon multidisciplinaire en coordination avec les médecins référents des départements concernés du Centre Oscar Lambret et/ou l'équipe de chirurgie thoracique du CHRU de Lille.

Le Centre Oscar Lambret fait partie du réseau national reconnu par l'INCa de prise en charge des tumeurs thymiques et anime le Centre Expert Régional (CER) qui regroupe les spécialistes de cette maladie.

Dans ce cadre, des propositions de traitements peuvent être transmises aux médecins qui s'occupent déjà de vous. Vos médecins jugeront de la nécessité ou non de vous proposer une prise en charge au Centre dans le cadre du CER.

La chirurgie des tumeurs thymiques imposent une prise en charge par une équipe spécialisée dans cette maladie (recommandations nationales).

L'examen est indolore. Seule la piqure pour l'injection du produit peut vous paraitre désagréable.

Il n'existe, à ce jour, aucun phénomène d'allergie et très peu d'effets secondaires aux produits utilisés en médecine nucléaire.

La grossesse et l'allaitement peuvent constituer une contre-indication. Si vous êtes enceinte ou croyez l'être, merci de le signaler lors de votre prise de rendez-vous.

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